L’expérience inédite progresse. Hier soir, j’ai envoyé à l’équipe éditoriale coopérative la version 2 de ma nouvelle La chasse aux riches (titre encore provisoire). Si je sais comment le texte sera vendu hors de mon blog, puisque je m’adapte à des modèles existants, il me reste à décider comment le vendre en direct. J’ai quatre possibilités.

Prix unique

Rien d’original, j’annonce un prix, genre 3 euros. C’est à prendre ou à laisser. Je peux au mieux effectuer une promo de lancement. Je dois alors distribuer des exemplaires gratuits aux propulseurs pour leur donner envie de pousser mon texte.

L’abonnement

Chaque année, vous me versez une somme forfaitaire pour recevoir gratuitement tous mes textes.

Prix libre

Je suggère un prix de 3 euros mais je vous laisse libre de le fixer vous-même. Vous pouvez récupérer le texte gratuitement, comme l’a proposé Le Bélial. Avantage : un lecteur peut lire gratuitement, puis payer par la suite. J’aime bien, mais j’ai aussi peur que les gens oublient de faire un don.

Prix croissant

C’est une vieille idée d’Isabelle : copier le modèle Ryanair. Au début le livre est gratuit. Plus les lecteurs en demandent, plus le prix monte, jusqu’à finir par atteindre son prix public. Les lecteurs fidèles et les propulseurs vigilants bénéficient du livre gratuitement, puis les premiers fans paient modérément et les late adopters paient le prix fort.

Pour mon blog, j’écarte le prix fixe car ce sera le cas ailleurs et l’abonnement, solution qui me paraît pour moi encore prématurée. Il me reste les deux dernières possibilités. Je vais devoir développer un plugin pour vendre La chasse aux riches et J’ai eu l’idée. Peut-être que j’essaierai pour chacun une des deux dernières techniques.