Aucune couverture média, aucun travail promotionnel de la part de l’éditeur, juste des billets sur mon blog et ceux de quelques amis, et même d’inconnus, puis des messages sur les réseaux sociaux, et Ératosthène se glisse dans le top des ventes Kindle de la rentrée littéraire.

Il faut se contenter de peu, parce que ces ventes représentent bien peu d’exemplaires, ce qui démontre à quel point le marché du livre numérique est atone (et d’après mes informations celui du livre papier n’est guère plus flamboyant, excepté une anomalie innommable).