Parfois deux informations a priori sans rapport entrent en résonnance dans notre cerveau et nous créons des métaphores ou des connexions surprenantes, c’est un des sujets d’étude de Vilayanur Ramachandran.
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À quoi ressemblent ces hommes et ces femmes qui nagent dans le flux ? Je voudrais répondre à cette question, déjà pour m’aider à mieux me situer dans le monde, à accepter les aléas de la vie contemporaine et ne pas perdre courage.
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Je viens de publier un troisième texte chez publie.net, Bit, Sex and Bug. Plutôt que de gloser dessus, Isabelle m’a interviewé. Je vous propose également un extrait du début de ce thriller.
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Dans le monde de l’édition électronique, on se demande s’il faut encore parler de livre. C’est une question qui va et vient. Je voudrais préciser mon point de vue.
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Ou l’histoire d’une mauvaise affaire. Bourin éditeur vient de m’apprendre que je ne toucherai pas mes droits d’auteurs sur Le peuple des connecteurs avant 2017 ! Vous avez bien lu.
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J’ai fais aujourd'hui quinze minutes de voiture et j'ai écouté France Culture ! Je suis alors tombé sur une discussion au sujet du journalisme participatif avec Philippe Couve notamment. J’ai noté des préoccupations communes à celles qui interrogent les littérateurs.
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Bit, Sex and Bug va inaugurer la nouvelle collection TEMPSREEL de publie.net. Je me suis amusé à gribouiller des couvertures. Ou quand l'auteur devient aussi propulseur, graphiste, éditeur... et s'amuse. Bon, ce serait mieux si un pro s'emparait de l'affaire.
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Le Net modifie notre façon d’écrire en même temps que ce que nous écrivons. Dans La stratégie du cyborg, j’ai évoqué la dimension sociale de la pratique artistique contemporaine. Cette socialisation peut s’effectuer en direct ou par sites interposés. C’est cette seconde forme qui la première a été possible. Je l’ai pour la première fois mise en œuvre en 2003 lorsque j’ai écrit Bit, Sex and Bug.
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Mi-mai 2003, dans l’avion qui de Londres me ramenait à Montpellier, j’ai lu dans NewScientist, une brève sur l’origine de HIV qui m’a stupéfié.
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