646 romans pour la course aux prix. Au moins un a été oublié, mon sublime inénarrable J’ai eu l’idée. Vous avez découvert sur ce blog des versions préliminaires, mais la version finale sort enfin chez publie.papier, après une attente insoutenable de mes millions de fans.

Vous croyez que ce recueil d’aphorismes n’est pas un roman. Détrompez-vous. C’est un voyage dans notre époque à travers les idées d’un homme, comme Je me souviens de Perec était un voyage à travers ses souvenirs, ou comme l’Autobiographie des objets de François Bon est un voyage à travers ses objets.

Il n’y a pas à proprement parler de personnages, quoi qu’en cherchant bien certains reviennent de manière récurrente. Il n’y pas non plus d’histoire, quoi que l’ordre des idées épouse une progression dramatique. C’est donc bel et bien un roman qui ne respecte pas la forme romanesque canonique, il est pour cette raison plus littéraire que tous ceux qui miment le format commercial.

Et c’est un vrai livre. On le trouve en papier dans toutes les librairies en ligne ou non. Si vous devez lire qu’une chose de moi, c’est ce texte.

PS : En même temps que J’ai eu l’idée, deux autres de mes textes sortent en version définitive et en papier : L’alternative nomade et Ya Basta. Grand merci à toute l’équipe de publie.papier.