Nous savons que les adeptes de la haute finance sont des psychopathes (définition : insensible à la souffrance des autres). Savoir que par leurs pratiques ils creusent l’écart entre les riches, eux, et les pauvres, les autres, ne les tourmente pas le moins du monde.

Un ami qui appartient à ce gotha, mais qui en souffre sans réussir à s’en échapper, m’a dit un jour « L’intelligence est de notre côté. On est plus brillant que n’importe quel ministre des Finances. » Cette proposition était peut-être valable jusqu’à ce qu’un associé de chez Rothschild, revenu estimé 125 000 €/mois, devienne justement ministre des Finances en France.

Alors, oui, il connaît les rouages du système financier. Il sait très bien comment la monnaie se fabrique ex nihilo et comment les banquiers exigent des intérêts sur cet argent (pour ceux qui en doutent encore, suivez les explications de la Banque d’Angleterre). Croyez-vous qu’il changera ce mécanisme même, celui qui l’a rendu riche hier, et qui le rendra encore plus riche demain quand il reprendra une vie normale, après avoir protégé ses amis de la seule mesure qui s’impose : interdire aux banques de créer de la monnaie et d’exiger des intérêts sur l’argent qu’elles n’ont jamais eu.

Faute de cette mesure, notre ministre n’a qu’une solution, la rigueur, c’est-à-dire nous faire payer encore et encore. Le remboursement de la dette est devenu si gigantesque qu’il absorbe tout tel un trou noir. L’argent ne circule plus entre nous, pour nous aider à vivre, mais il file droit dans les caisses des quelques apparatchiks, dont notre ministre.

Sa nomination au pouvoir par un parti de gauche dépasse l’indécence. Elle nous prouve simplement la mainmise absolue des banksters sur notre société. Cette nouvelle noblesse s’est arrogé tous les privilèges.

Quand nous savons qu’il n’existe plus de travail pour tout le monde, que nous nous dirigeons vers une société de grande disponibilité, ce même gouvernement menace de punir les chômeurs plutôt que de penser revenu de base. Encore un bug. C’est du grand n’importe quoi. Jusqu’à quand cette farce durera-t-elle ? Que devons-nous faire ? Parce que la maison finira par nous tomber sur la gueule. Il ne peut en aller autrement.

J’ai des amis qui ont acheté des terres, construit des maisons autonomes et se préparent à l’hiver. Le film Goodbye World montre qu’il n’existera pas d’îles à l’abri de la barbarie quand le système s’écroulera. Si nous aspirons au bonheur, il nous faut donc agir, chasser les truands du pouvoir et inventer des modèles de gouvernances plus robustes.

Nous avons des solutions, ils n’en parlent pas. Ils ont même une armée de sbires prêts à nous dénigrer. Il ne faudrait pas que nos voix deviennent trop populaires.

Surtout, ne changeons rien. Développons des technologies médicales qui coûteront des millions et que seuls les banksters et leurs ayants droit s’offriront. Inventons une humanité à deux vitesses. « Plaçons nos hommes au pouvoir, se disent les Rothschild & cie. Subvertissons ceux qui y sont arrivés malgré nous. Ne nous cachons plus. Il n’est plus question de tergiverser. C’est la guerre finale contre l’humanisme. »

Je suis sous le choc. Parce qu’il s’est produit la même chose durant l’antiquité, en Alexandrie. C’est le sujet même de mon Ératosthène, et ça recommence, de la même façon.