- Les blogs totalisent chaque jour plus de lecteurs que les livres édités. Il y a donc un immense public pour les autopubliés.
- C’est un moyen de voir si un texte trouve un public, étape potentiellement préalable à une édition classique.
- L’auteur conserve ses droits plutôt que de les céder à un tiers qui statistiquement ne lui fait pas gagner un rond (revenu moyen par livre environ 5000 €, c’est à dire presque rien pour les auteurs qui ne sont pas dans le top 500 et qui alors mendient des interventions dans les lycées ou les médiathèques).
- Travailler avec un éditeur implique un temps long, des négociations, des plannings… autant de contraintes administratives qui peuvent être pesantes et que l’autoédition supprime.
- C’est écrire et donner à lire presque tout de suite.
- L’auteur publie ce qu’il désire et non ce qu’un tiers juge intéressant.
- À ventes égales, c’est gagner au moins deux fois plus.
- C’est connaître ses ventes en temps réel.
- C’est prendre les risques que les éditeurs prennent de moins en moins.
- Ça ne coûte rien, sinon du temps (exactement comme l’écriture).
- C’est un moyen de s’affranchir des rayonnages, des catégories, des formats, des tendances, des positionnements…
- C’est l’occasion d’aller seul face aux lecteurs et de ne pas se cacher derrière un tiers.
- C’est exploiter les nouvelles possibilités techniques, donc vivre son temps, chose assez importante pour un auteur.
- C’est obéir à ses envies profondes plutôt qu’à celles des autres, et notamment de leur porte-monnaie.
- C’est risquer de ne pas être lu sans avoir la possibilité de s’en prendre à son bouc émissaire d’éditeur, à sa mauvaise attachée de presse, à son service commercial déplorable…
- C’est pouvoir écrire beaucoup et publier beaucoup.
- Ce n’est pas inconciliable avec se faire éditer. À chaque texte un canal de diffusion. Aucune raison de se fermer des portes.
- L’auteur édité peut s’autopublier de temps à autre pour mesurer, par comparaison, le travail effectué par son éditeur (et peut-être constater combien il est précieux).
- C’est publier ce qui sinon ne le serait souvent pas.
- C’est la meilleure façon de trouver un éditeur en cas de succès (soumettre un manuscrit, c’est ringard, le nouveau mot d’ordre est « Prouve-nous ce que tu vaux. »).
20 raisons de s’autopublier